Pour une rose...

Lance se promenait dans le jardin de la mort. Il n'avait aucune idée de comment il était arrivé là. Mais il se souvenait que, lorsqu'il était entré, il n'avait tenu aucun compte de l'écriteau déclarant : ''Forêt de la mort, n'approchez pas''. D'abord parce qu'il ne taniat pas compte des supersttions, ensuite parce que la forët était remplie de rose, sa fleur préférée.

L'endroit était sombre, mais l'ambiance, quoique quelque peu morbide, était tout de même romantique. Lance y marchait d'un pas léger, évidemment flanqué de son robot, aleksander, qui le suivait comme son ombre.

Tout à coup, Lance entendit un bruit. Il s'arrêta de marcher et preta l'oreille, essayant de discerner du son.

-Aleksander, bouclier, chuchota t'il.

Le robot activa un bouclier invisible autour de Lance, qui le protégerait d'éventuelles attaques.

À pas feutrés, Lance se dirigea vers la source du bruit. Il ravala une exclamation de surprise lorsqu'il vit une jeune fille couchée, au milieu des roses. Il resta là un moment à la regardé, trop surpris pour faire quoique se soit. Quand, enfin, il reprit ses esprits, il invita Alekasander à venir le rejoindre, d'un geste silencieux. La jeune femme semblait dormir, il ne savait pas si il devait la réveiller ou non. Il s'assit donc à côté d'elle en attendant qu'elle réagisse.

Le jeune homme l'observa pendant ce temps. Il avait rarement l'occasion d'observer une jeune femme sans l'intimider. Elle n'aiment évidemment pas se faire observer la plupart du temps. Elle .tait joli, dans son genre. Mais elle ne venait certainement pas de son époque. Une époque antérieur sans doute.

Lorsque le corps de la jeune fille devant lui se mit à briller, Lance, surpris et effrayé, recula prestemment.Là c'est sur, elle vient vraiment pas de mon époque. Elle allait peut-être lancer uen attaque. Il placa instinctivement ses bras devant lui, de manière à protégé son visage.

-Désolé de t..vous avoir...espionner pedant que vous dormiez je...je ne le rerai plus. Ne m'attaquez pas, ne me faites pas mal. Je refai ce que vous voudrez. Pitié...

Lance avait peur. Il voyait ses bras trembler légèrement, ce qui accentua son stress. Il ne voulait pas que l'autre le voit. Mais il savait que se montré inférieur à un adversaire permettait souvent d'avoir la vie sauve. Même si cela équivalait aussi à se voir déverser un sadisme sans nom dessus.